À Thomas Bartholin, le 26 septembre 1653, note 3.
Note [3]

La fin est différente dans la lettre imprimée page 502 :

Hic habeo præsentem in Musæo meo dum hæc scribo R.P. Ludovicum Jacob, Carmelitanum, qui te plurimum salutat : hic ambo lugemus communem amicum, qui summo nostro dolore abiit ad plures, Cl. Virum D. Gabr. Naudæum intelligo. O dura fata ! o aspera fata ! Tu vero vale, et me, quod facis, amare perge, tuamque valetudinem cura diligenter inter tot intricatas scriptiones, et eruditas controversias, quæ plurimum laboris absumunt, et multum tempus requirunt.

[Tandis que je vous écris ces lignes, le R.P. Louis Jacob, carme, {a} est ici présent dans mon étude ; il vous salue bien. Nous y pleurons tous deux un ami commun qui, pour notre plus grande douleur, s’en est allé dans l’au-delà ; je veux parler du très distingué M. Gabriel Naudé. Ô dur, ô cruel destin ! Quant à vous, vale et continuez de m’aimer comme vous faites ; prenez bien soin de votre santé parmi tant de travaux d’écriture entremêlés et de controverses savantes, qui consomment beaucoup de labeur et demandent beaucoup de temps].


  1. Louis Jacob de Saint-Charles (v. note [5], lettre 108).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Thomas Bartholin, le 26 septembre 1653, note 3.

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(Consulté le 25/04/2024)

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