À Johannes Antonides Vander Linden, le 18 mars 1661, note 3.
Note [3]

« Jules est enfin sous terre : c’est merveille qu’entouré par tant de bourreaux un larron ait tant peiné à mourir » (distique attribué à François Du Monstier, v. note [8], lettre 684).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 18 mars 1661, note 3.

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(Consulté le 20/04/2024)

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