À Christiaen Utenbogard, le 6 février 1664, note 3.
Note [3]

V. note [4], lettre latine 241, pour la paix de Pise, conclue le 7 février 1664, qui mettait fin à la vive querelle que l’affaire des gardes corses avait allumée entre le pape Alexandre vii et Louis xiv.

Deux livres de Reiner von Neuhaus avaient paru depuis 1661 à Amsterdam chez Jan Jansson :

  • Thalia Alcmariana. Sive Poematum porteriorum liber. Editio secunda, altera parte auctior. Cum elogiis amicorum [La Thalie (v. note [4], lettre de Neuhaus, datée du 1er juillet 1673) d’Alkmaar, ou un livre des derniers poèmes de Reiner von Neuhaus, jurisconsulte. Seconde édition, augmentée d’une autre partie. Avec les éloges des amis (où Guy Patin ne figure pas)] (1661, in‑12, avec un portrait de Neuhaus) ;

  • Apparatus eloquentiæ… [L’Apparat de l’éloquence…] (1663, in‑12, v. note [6], lettre de Neuhaus, datée du 24 juin 1663).

La bibliographie de Marten Schoock ne contient aucun titre imprimé par Jansson à cette époque.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Christiaen Utenbogard, le 6 février 1664, note 3.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1311&cln=3

(Consulté le 20/04/2024)

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