Note [3] |
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Guy Patin jugeait « bien pure et bien nette » l’eau de la Seine, cloaque où les Parisiens s’abreuvaient alors ordinairement et sans la moindre crainte (lettre du 15 décembre 1670 à André Falconet). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johann Daniel Horst, le 20 septembre 1664, note 3.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1350&cln=3 (Consulté le 25/04/2024) |