À Charles Spon, le 10 août 1649, note 30.
Note [30]

« pendant que la populace, perdant la tête, se permet d’ignorer l’autorité supérieure. »

Olivier Le Fèvre d’Ormesson (Journal, tome i, page 773, septembre 1649) :

« Les lois commençaient à reprendre leur vigueur ancienne et tant nécessaire au repos public. Un certain homme de néant avait été exécuté < sic > pour avoir fait plusieurs libelles contre l’honneur de la reine durant le blocus de Paris, mais cela ne continua pas longtemps et leur autorité fut bientôt violée par quantité de canailles qui ôtèrent d’entre les mains de l’exécuteur un jeune tireur d’or qu’il allait pendre à la porte de Montmartre pour divers assassinats qu’il avait commis. Il y eut même quelques archers tués sur la place et beaucoup de blessés. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 10 août 1649, note 30.

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(Consulté le 13/10/2024)

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