Note [30] |
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Ayant allègrement sauté, grâce à Aristote (v. supra note [29]), de la première imprégnation religieuse des esprits à l’attention des spectateurs au théâtre, le Borboniana en venait à évoquer Pierre Corneille, son Cid (v. note [2], lettre 33) et la fameuse querelle que cette « tragi-comédie » engendrait alors (1637) : sans se tromper, Nicolas Bourbon se rangeait à l’avis du public, qui avait réservé un accueil émerveillé à la pièce, et laissait les critiques à leurs grognements. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Bornoniana 4 manuscrit, note 30. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8205&cln=30 (Consulté le 08/12/2024) |