Autres écrits : Commentaires de la Faculté rédigés par le doyen Guy Patin (1650-1652) : 2B. Novembre 1651-novembre 1652, Décrets et assemblées de la Faculté de médecine, note 31.
Note [31]

Pour être admis à se présenter au baccalauréat, les candidats devaient faire état de quatre années révolues d’études médicales préparatoires succédant à l’obtention de leur maîtrise ès arts. Les fils des docteurs régents pouvaient bénéficier d’une remise d’une ou deux années (v. note [2], lettre 39, pour cet article des statuts de la Faculté) ; mais, même en profitant de cette faveur, Abraham Thévart, fils de Jacques (v. supra note [25]), ne parvenait pas à satisfaire cette exigence. Il fut contraint à prolonger de deux années ses études.

En revanche, comme le doyen l’avait vigoureusement rappelé plus haut, les fils de maître ne jouissaient pas de la gratuité des diplômes (baccalauréat, licence et doctorat), hormis exception contestée (v. supra note [29]).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Commentaires de la Faculté rédigés par le doyen Guy Patin (1650-1652) : 2B. Novembre 1651-novembre 1652, Décrets et assemblées de la Faculté de médecine, note 31.

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(Consulté le 20/04/2024)

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