À Charles Spon, le 13 mars 1657, note 32.
Note [32]

« et si l’affaire est retenue par les chicanes d’un long procès, je ne m’en figure ni la durée ni la fin. » Au sujet du grave différend entre Jean ii Riolan et son fils Henri, l’avocat, voir le passage en date du 21 avril dans la lettre à Charles Spon du 25 avril 1653.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 13 mars 1657, note 32.

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(Consulté le 19/04/2024)

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