Note [34] | |
La référence, ajoutée dans la marge, renvoyait à La Doctrine curieuse du R.P. François Garasse, {a} livre vii (pages 906‑907), combattant la maxime vii, Posé le cas qu’il y ait un Dieu, comme il est bienséant de l’avouer, pour n’être en continuelles prises avec les superstitieux, il ne s’ensuit pas qu’il y ait de créatures qui soient purement intellectuelles et séparées de la matière. Tout ce qui est dans la nature est composé ; et partant, il n’y a ni anges ni diables au monde, et n’est pas assuré que l’âme de l’homme soit immortelle, etc., 17e section, L’impiété des épicuriens et leur créance touchant la mortalité de leur âme s’étend [sic] jusques au delà de leur mort, et paraît [sic] en leurs épitaphes profanes : « La troisième espèce d’épitaphes impies et profanes est celle qui porte les impiétés gravées dans le marbre ; et de celle-ci, j’en fournis deux ou trois exemples […]. Ces commentaires scandalisés du R.P. Garasse n’aident malheureusement pas à mieux identifier l’impie Nicolas dont parlait le Borboniana. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Bornoniana 4 manuscrit, note 34. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8205&cln=34 (Consulté le 06/11/2024) |