À Charles Spon, le 16 août 1650, note 36.
Note [36]

« ce qui donne raison à ce vers de Martial [v. note [17], lettre 75] : “ Il n’y a pas de lieu sur terre où tu puisses échapper à ton destin ; quand la mort vient, la Sardaigne se trouve au beau milieu de Tibur. ” »

V. note [2], lettre 237, pour la mère de Catherine Janson, belle-mère de Guy Patin, morte en son logis de Cormeilles.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 août 1650, note 36.

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(Consulté le 20/04/2024)

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