À Charles Spon, le 8 janvier 1650, note 37.
Note [37]

« et pourtant je ne prétends pas le pouvoir surpasser » : Guy Patin suspectait Grégoire-François Du Rietz d’avoir pu examiner indélicatement le contenu de la lettre qu’il lui avait fait porter de la part de Samuel Sorbière (v. note [20], lettre 209, et infra note [45]).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 8 janvier 1650, note 37.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0211&cln=37

(Consulté le 19/04/2024)

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