À Claude II Belin, le 8 novembre 1635, note 4.
Note [4]

« On dit proverbialement, qu’il a plu sur la mercerie de quelqu’un, pour dire, que son trafic va mal, qu’il est prêt à faire banqueroute » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 8 novembre 1635, note 4.

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(Consulté le 29/03/2024)

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