Note [4] |
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« On dit d’une terre usurpée par quelqu’un : ce n’est pas celui à qui elle appartient qui en mange les chapons » (Furetière). Tout ce paragraphe est absent de la lettre cclvii de Reveillé-Parise, mais s’y lit, quelque peu remanié, dans une lettre (lettre 344) à André Falconet, datée du 20 mars 1654 (ccccxviii, tome iii, pages 24‑26), qu’on trouve pareillement, mais à Charles Spon, dans Bulderen (lxxxi, tome i, pages 224‑227). |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 6 mars 1654, note 4.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0342&cln=4 (Consulté le 06/06/2023) |