À Charles Spon, le 25 octobre 1658, note 4.
Note [4]

« Patin a parlé peu exactement de ce démêlé », dit Bayle, ajoutant (note H sur Girac) :

« Qui ne croirait, en vertu de ces paroles, que Voiture avait fait une querelle à Balzac et que Girac se rendit le protecteur du dernier contre le premier ? Cela est très faux. Voiture n’intenta aucun procès à Balzac : ce fut Balzac qui, après la mort de Voiture, critiqua le fameux sonnet d’Uranie ; mais cette critique ne fut point le sujet de la querelle de Costar et Girac. Si Guy Patin ne savait pas mieux les autres nouvelles de la république des lettres que celle-ci, malheur à qui s’y fie. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 25 octobre 1658, note 4.

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(Consulté le 19/04/2024)

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