À André Falconet, le 5 octobre 1660, note 4.
Note [4]

« et c’est pourquoi quelques-uns croient qu’il ne passera pas la fin de l’hiver ; ajoutez, ce qui est bien plus, après une maladie si opiniâtre, qu’on a pour lui fortement à craindre du calcul ou des douleurs néphrétiques qui, la plupart du temps, succèdent à la podagre, la chiragre et la gonagre. »

La gonagre est la goutte (arthrite aiguë) du genou, tout comme la podagre est celle du pied, et la chiragre celle de la main (v. note [30], lettre 99).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 5 octobre 1660, note 4.

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(Consulté le 24/04/2024)

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