Note [4] |
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« au septième jour de sa maladie ». V. note [8], lettre latine 289, pour la mort de Johannes Antonides Vander Linden, le 5 mars 1664, en lien avec une probable peste foudroyante. La saignée ne l’aurait certainement pas sauvé. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 18 avril 1664, note 4.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0776&cln=4 (Consulté le 25/04/2024) |