À Johann Caspar I Bauhin, le 20 septembre 1647, note 4.
Note [4]

« méditant sur l’extrême brièveté de la vie » : Vitæ summa brevis, spem nos vetat inchoare longam [L’extrême brièveté de la vie nous interdit les longues espérances] (Horace, v. note [12], lettre 98).

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Caspar I Bauhin, le 20 septembre 1647, note 4.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1046&cln=4

(Consulté le 24/04/2024)

Licence Creative Commons