De Charles Spon, le 13 mai 1659, note 4.
Note [4]

« il n’apparaissait aucune fente, si petite que ce fût. »

C’était un cas d’atrésie (atrésia en grec, imperforation) vaginale, malformation congénitale dont Charles Spon allait décrire par le menu le traitement chirurgical de son époque, assez barbare et pour le moins audacieux (réalisé bien sûr sans aucune anesthésie). Il appelait labies les lèvres de la vulve.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Charles Spon, le 13 mai 1659, note 4.

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(Consulté le 20/04/2024)

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