À Charles Spon, le 16 août 1650, note 41.
Note [41]

Samuel Sorbière avait épousé Judith Renaud, fille de Daniel, Français natif, comme Sorbière, de Saint-Ambroix, dans les Cévennes, puis établi à La Haye. Judith y avait été baptisée le 22 mars 1620, puis reçue membre de l’Église le 7 avril 1635. Son mariage avec Sorbière fut célébré le 24 juin 1646 (Gustave Cohen, Écrivains français en Hollande dans la première moitié du xviie siècle (Paris, Édouard Champion, 1920, in‑8o, page 349).

Au moins un fils, prénommé Henri, naquit de cette union. C’était l’enfant que sa mère allaitait alors, car la lettre de Sorbière à son ami Abraham Du Prat, datée d’Orange (v. note [16], lettre 237) le 5 septembre 1651 (ms BnF latin 10532‑I, fo 154 vo), se termine par ces mots : Uxor et Henriculus te plurimum salutant [Ma femme et notre petit Henri vous envoient tous leurs saluts].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 août 1650, note 41.

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(Consulté le 19/04/2024)

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