À Charles Spon, le 16 août 1650, note 42.
Note [42]

« je n’ai certes pas eu la liberté, tant j’avais à faire, de me complaire dans l’oisiveté. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 août 1650, note 42.

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(Consulté le 16/04/2024)

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