Note [44] |
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« pour que nous puissions bavarder ensemble » (Virgile, v. note [19], lettre 152). Ce que Charles Spon avait dû appeler sa « cellule de méditation » était sans doute son étude, la chambre où il se retirait pour travailler ou pour s’entretenir avec ses amis. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 20 mars 1649, note 44.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0166&cln=44 (Consulté le 10/06/2023) |