Note [44] |
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« vit encore, mais il traîne une vie misérable, il gémit à côté de sa mangeoire, attendant sans bouger que la maladie l’emporte » ; Ovide (Métamorphoses, livre vii, vers 544), sur l’agonie d’un cheval atteint de la « peste d’Égine » : ad præsepe gemit, leto moriturus inerti. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 13 mars 1657, note 44.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0469&cln=44 (Consulté le 19/04/2024) |