À Charles Spon, le 13 mars 1657, note 44.
Note [44]

« vit encore, mais il traîne une vie misérable, il gémit à côté de sa mangeoire, attendant sans bouger que la maladie l’emporte » ; Ovide (Métamorphoses, livre vii, vers 544), sur l’agonie d’un cheval atteint de la « peste d’Égine » :

ad præsepe gemit, leto moriturus inerti.

[il gémit à côté de sa mangeoire, attendant sans bouger que la mort l’emporte].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 13 mars 1657, note 44.

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(Consulté le 19/04/2024)

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