Note [45] | |
Depuis Novum esse morbum luem veneream nullus insiciatur… [Nul n’ignore que le mal vénérien est une maladie nouvelle] jusqu’à sed hæc obiter dicta sunto, {a} et citra nationis, quæ viros percelebres alit, iniuriam [mais que cela soit dit en passant, sans faire injure à cette nation qui nourrit de très éminents personnages], y compris le titre et les deux intertitres, Guy Patin a tiré la plus grande partie de son commentaire, mot pour mot, du Dispensatorium [Dispensaire ou Antidotaire] de Jean de Renou, pages 177‑178. {b} Pour me remettre de ce surprenant constat de larcin avoué, j’ai bien ri en lisant ce qu’en a fait Louis i de Serres dans sa traduction française des Œuvres pharmaceutiques de Renou, {c} au paragraphe intitulé Depuis quel temps le mal de Naples, autrement appelé vérole, a été connu en Europe (page 602) ; voici sa version de la fin :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Guy Patin éditeur des Opera omnia [Œuvres complètes] d’André Du Laurens en 1628, note 45.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8229&cln=45 (Consulté le 08/11/2024) |