Note [47] |
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« On dit qu’un malade a reçu tous ses sacrements pour dire qu’il a été confessé, communié, et qu’il a eu l’extrême onction, qu’on l’a assisté de tous secours spirituels et corporels » (Furetière). Le sacrement de la paix est à comprendre comme le droit de mourir en paix. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 2 août 1652, note 47.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0292&cln=47 (Consulté le 12/12/2024) |