À Charles Spon, le 10 janvier 1650, note 5.
Note [5]

Les vertus narcotiques de la thériaque (sans doute les seules qu’elle eût vraiment) étaient liées à sa richesse en opium.

V. l’observation xi (sur la thériaque et le mithridate) pour les vertus distinctes de la thériaque nouvelle (c’est-à-dire fraîchement préparée), tenue pour un remède « froid », et pour celle qu’on avait laissé vieillir pendant plusieurs années, qui devenait de plus en plus « chaude ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 10 janvier 1650, note 5.

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(Consulté le 25/04/2024)

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