À Charles Spon, le 16 septembre 1650, note 5.
Note [5]

Estne totus homo a natura morbus ? [Par nature, l’homme n’est-il pas tout entier maladie ?] (17 décembre 1643 ; v. note [4], lettre 98), et Estne longæ ac iucundæ vitæ tuta certaque parens sobrietas ? [Une sobriété prudente et déterminée n’est-elle pas la mère d’une longue et agréable vie ?] (14 mars 1647 ; v. note [6], lettre 143).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 septembre 1650, note 5.

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(Consulté le 25/04/2024)

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