À Charles Spon, le 30 décembre 1650, note 5.
Note [5]

« À nous, qui cultivons des muses plus charmantes, il n’est pas permis d’être si sérieux » ; Martial (Épigrammes, livre ix, xii, vers 17) :

Nobis non licet esse tam disertis
qui Musas colimus severiores
.

[À nous qui cultivons des Muses plus sévères, il n’est pas permis d’être si diserts].

Charles Spon a plus tard expliqué à Guy Patin que la froideur de Sarrasin (qui était calviniste) à son égard venait du fait qu’il l’avait pris pour un prêtre (v. lettre du 24 janvier 1651).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 30 décembre 1650, note 5.

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(Consulté le 26/04/2024)

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