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« pour qu’une autre affection honteuse et pernicieuse ne s’empare de lui, s’il s’attarde ici plus longtemps. » On devine ici que Guy Patin considérait la maladie du jeune Belin comme la conséquence de ses débauches parisiennes. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 24 mai 1653. Note 5
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