À Claude II Belin, le 24 mai 1653, note 5.
Note [5]

« pour qu’une autre affection honteuse et pernicieuse ne s’empare de lui, s’il s’attarde ici plus longtemps. » On devine ici que Guy Patin considérait la maladie du jeune Belin comme la conséquence de ses débauches parisiennes.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 24 mai 1653, note 5.

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(Consulté le 23/04/2024)

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