À Charles Spon, le 4 décembre 1654, note 5.
Note [5]

« fardée et frelatée, {a} à tout le moins une piété à contretemps. » {b}


  1. Marc-Aurèle Pensées pour moi-même (v. note [1], lettre 671), livre xi, xviii :

    • en grec, οτι το ευμενες ανικητον, εαν γνησιον η και μη σεσηρος μηδε υποκρισις ;

    • en latin (traduction de Thomas Gataker [Thomas Buck, Cambridge, 1652, page 111]),

      mansuetudinem insuperabilem esse, si genuina ferit, non personata et fucata…

      [la mansuétude est invincible, si elle est sincère, ni fardée ni frelatée…]

  2. V. note [7], lettre 378, pour la conversion de la reine Christine qui, contrairement à ce qu’en disait Guy Patin, était en excellent chemin.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 4 décembre 1654, note 5.

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(Consulté le 25/04/2024)

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