À André Falconet, le 28 février 1665, note 5.
Note [5]

« l’épouvante force à comprendre », Isaïe 28:19) :

Mane diluculo pertransibit in die et in nocte et tantummodo sola vexatio intellectum dabit auditui.

[Matin après matin il passera, le jour et la nuit ; il n’y aurait qu’épouvante à en comprendre la révélation].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 28 février 1665, note 5.

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(Consulté le 28/03/2024)

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