Note [5] |
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Guy Patin se complaisait lui-même à médire de Mme d’Aiguillon, nièce de Richelieu, en insinuant qu’ils étaient mère et père de ceux qu’on appelait ses trois neveux (v. note [37], lettre 487). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 3 mars 1665, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0814&cln=5 (Consulté le 12/12/2024) |