À André Falconet, le 9 juin 1665, note 5.
Note [5]

« On dit proverbialement, tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise, pour dire qu’à force de s’exposer aux dangers, on y demeure à la fin » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 9 juin 1665, note 5.

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(Consulté le 12/10/2024)

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