Note [5] |
|
« On dit proverbialement, tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise, pour dire qu’à force de s’exposer aux dangers, on y demeure à la fin » (Furetière). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 9 juin 1665, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0825&cln=5 (Consulté le 12/10/2024) |