À André Falconet, le 22 décembre 1665, note 5.
Note [5]

« Mes pieds défaillent presque quand je vois la prospérité des pécheurs » ; Psaumes (72:2‑3) :

« Mes pieds défaillent presque quand je vois la prospérité des pécheurs » ; Psaumes (72:2‑3) :

Mei autem pene moti sunt pedes, pene effusi sunt gressus mei, quia zelavi super iniquos : pacem peccatorum videns.

[Un peu plus, mon pied bronchait, un rien et mes pas glissaient, envieux que j’étais des insensés en voyant le bien-être des pécheurs].

Guy Patin commentait la mort accidentelle (noyade sous le pont de la Saône à Lyon) de François Bochart de Champigny (v. note [11], lettre 390) et évoquait l’« étrange mystère » de la prédestination, que protestants et jansénistes avaient choisie comme moyen de la grâce divine (v. note [50], lettre 101).

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 22 décembre 1665, note 5.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0851&cln=5

(Consulté le 19/04/2024)

Licence Creative Commons