Note [5] | |
« Mes pieds défaillent presque quand je vois la prospérité des pécheurs » ; Psaumes (72:2‑3) : « Mes pieds défaillent presque quand je vois la prospérité des pécheurs » ; Psaumes (72:2‑3) :
Guy Patin commentait la mort accidentelle (noyade sous le pont de la Saône à Lyon) de François Bochart de Champigny (v. note [11], lettre 390) et évoquait l’« étrange mystère » de la prédestination, que protestants et jansénistes avaient choisie comme moyen de la grâce divine (v. note [50], lettre 101). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 22 décembre 1665, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0851&cln=5 (Consulté le 14/10/2024) |