Note [5] |
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Comme prouve sa Leçon sur le laudanum et l’opium, Guy Patin s’est plus tard montré fort réticent à l’emploi des médicaments opiacés tels que le diacode (v. note [9], lettre 571). Il se montrait néanmoins déjà ennemi des remèdes arabes et cordiaux (cardiaques) en barrant ici le mot zulapia, juleps (v. note [7], lettre 135), pour le remplacer par potiunculæ, petites gorgées. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Consultations et mémorandums (ms BIU Santé 2007) : 18, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8148&cln=5 (Consulté le 03/10/2024) |