À Charles Spon, le 18 juin 1649, note 54.
Note [54]

Adage qu’Érasme a commenté en même temps qu’Homo homini deus (no 69, v. note [15], lettre 630) :

Præterea vulgo quoque qui in rebus perplexi ac desperatis aut ancipiti periculo servantur, a Deo quopiam aiunt sese servatos. Horatius : Sic me servavit Apollo.

[En outre aussi, mais trivialement, ceux qui se sont tirés d’affaires embrouillées et désespérées, ou d’une dangereuse épreuve, disent qu’ils ont en quelque façon été secourus par Dieu ; ce qu’Horace a rendu par Sic me servavit Apollo]. {a}


  1. « Voilà comme Apollon [v. note [8], lettre 997] m’a préservé » (Horace, Satires, livre i, 9, vers 78).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 18 juin 1649, note 54.

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(Consulté le 19/04/2024)

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