Note [6] |
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Les Français vécurent la capture de Jean de Werth comme un savoureux soulagement, mettant un terme à la phase de la guerre qui les avait le plus directement menacés. Le duc ou roi de Hongrie était alors en effet un personnage considérable : soit l’empereur germanique (v. note [7], lettre 21), soit son héritier présomptif. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 10 mars 1638, note 6.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0038&cln=6 (Consulté le 07/09/2024) |