Note [6] | |
« si on s’en irrite, on laisse croire qu’elles sont fondées, mais elles se fanent si on les dédaigne » : Namque spreta exolescunt ; si irascare, agnita videntur (Tacite, Annales, livre iv, chapitre xxxiv). V. notes [4], lettre 224, pour l’Apologie royale… de Claude i Saumaise, traduction en français de sa Defensio regia…, [4], lettre 208, pour les Mémoires de Sully, [9], lettre 49, pour ceux de Henri de Rohan, et [24], lettre 220, pour l’Histoire du ministère de Richelieu, par le P. Charles Vialart. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 6 mai 1650, note 6.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0227&cln=6 (Consulté le 10/10/2024) |