À André Falconet, le 27 février 1660, note 6.
Note [6]

L’onguent diapalme, ainsi nommé parce qu’on y faisait entrer une décoction de feuilles de palmier et qu’on remuait le mélange avec une spatule en bois du même arbre, était une sorte d’emplâtre siccatif composé essentiellement de litharge [v. notule {c}, note [14], lettre 181], de sulfate de zinc et de corps gras (Littré DLF).

L’onguent rosat était à base de roses.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 27 février 1660, note 6.

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(Consulté le 20/04/2024)

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