À André Falconet, le 29 décembre 1660, note 6.
Note [6]

Charles De Laval soutint son acte de régence (antéquodlibétaire ou plus communément, pastillaire) le 29 décembre 1660 sur la double question An cor magnum timidum/ audax ? [Un grand cœur est-il timide/ hardi ?] (v. note [16], lettre 642, pour ses deux précédents actes de vespérie et de doctorat).

V. supra note [3], pour l’acte de doctorat d’Antoine De Caen.

Quand ils étaient consciencieux (comme était Guy Patin, v. note [1], lettre 661), les docteurs régents préparaient longuement leurs harangues latines pour les actes de la Faculté (en les écrivant avant de les déclamer).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 29 décembre 1660, note 6.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0660&cln=6

(Consulté le 25/04/2024)

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