Note [6] |
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Guy Patin reprenait l’adage « devoir un coq à Esculape » que lui avait cité Adolf Vorst : v. notes [1] et [2] de sa lettre datée du 4 novembre 1661, pour le coq qu’on sacrifiait à Esculape en remerciement d’avoir guéri d’une maladie, et pour la possible typhoïde qui avait durement frappé Patin en octobre 1661 (v. note [1], lettre 717) et dont il n’était toujours pas tout à fait remis ; ce qui explique pourquoi il dictait alors ses lettres. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Adolf Vorst, le 3 janvier 1662, note 6.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1205&cln=6 (Consulté le 02/06/2023) |