À Claude II Belin, le 10 mars 1638, note 7.
Note [7]

« Lorsque les Sabins eurent enfermé le vieux Janus, ce fut partout le signe d’une paix florissante : il n’y a aucun salut dans la guerre, le monde entier réclame la paix. Et nous, avons-nous enfermé un vigoureux Janus ? Qu’en adviendra-t-il ? »

Ces vers latins sont de Nicolas Bourbon : v. note [37] du Borboniana 9 manuscrit pour leur commentaire.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 10 mars 1638, note 7.

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(Consulté le 25/04/2024)

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