Note [7] | |
« La lance d’Achille a remédié à la blessure » : Ovide (Les Remèdes à l’amour, dernier des vers 44 à 48) :
Guy Patin pensait ici que les coups de poignard, malgré la gangrène qu’ils provoquèrent, avaient guéri le blessé en vidant l’hydropisie du poumon (sans doute un épanchement liquide de la plèvre) dont il souffrait. L’aiguille creuse de gros calibre qu’on utilise pour drainer la plèvre fait aujourd’hui office de lance d’Achille. |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 13 février 1654, note 7.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0338&cln=7 (Consulté le 26/09/2023) |