À Charles Spon, le 2 novembre 1655, note 7.
Note [7]

« et avant l’éruption, et pendant l’éruption elle-même, et après la pleine éruption ; et on ne pouvait faire autrement à cause de la pléthore, de la fièvre, de la putréfaction, du danger imminent de suffocation, et d’autres symptômes pernicieux ; et aujourd’hui, le voilà convalescent. »

C’était la suite de l’observation entamée dans la lettre du 26 octobre précédent (v. sa note [25]).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 2 novembre 1655, note 7.

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(Consulté le 25/04/2024)

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