À Charles Spon, le 11 octobre 1658, note 7.
Note [7]

« Ce vaurien pratique une médecine qui l’enrichit et croit que tout lui est dû, par tous les moyens, honnêtes comme malhonnêtes, tant son esprit est emporté par la philargyrie. {a} “ Les chiens rêvent de pain, et les pêcheurs de poissons ” ; {b} en vérité, cet homme trouve bon tout ce qui lui procure pièces d’or et d’argent. »


  1. Amour effréné de l’argent.

  2. Théocrite, v. note [6], lettre 606.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 11 octobre 1658, note 7.

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(Consulté le 20/04/2024)

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