À Charles Spon, le 17 octobre 1667, note 7.
Note [7]

« “ Toi qui les lis, ne te hâte pas de croire que les Annales du savant Baronius sont trop serviles et qu’on doive approuver un tel produit de Rome. Elles furent le fruit de nombreuses veilles, mais sous l’ordre du souverain. La pourpre n’est pas un mince salaire. Jadis, les pontifes ne souffraient pas qu’on enseignât la vérité. Etc. ” {a} Dans l’épigramme placée en tête des Exercices de Casaubon sur les Annales ecclésiastiques de Baronius. » {b}


  1. V. note [33], lettre 413, pour un plus long extrait (que j’ai annoté) de ce Hugonis Grotii in Isaaci Casaboni Exercitationes Baronianas, Carmen [Poème de Hugo Grotius sur les Essais baroniens d’Isaac Casaubon] qui se trouve à la fin des Prolégomènes des Isaaci Casauboni… Exercitationes ad cardinalis Baronii… Annales… [Essais d’Isaac Casaubon… contre les Annales… du cardinal Baronius…] (Londres, 1614, v. note [18], lettre 318).

  2. La dernière ligne est écrite dans la marge de la lettre.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 octobre 1667, note 7.

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(Consulté le 25/04/2024)

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