De Reiner von Neuhaus, le 15 mars 1668, note 7.
Note [7]

Dans sa lettre du 29 septembre 1669, Guy Patin dira à Reiner von Neuhaus n’avoir jamais vu son très cher fils, Edon ii (v. supra note [1]). L’insistance de son père était donc tragi-comique et devait indisposer Patin.

Il en allait sans doute de même pour les couronnes de louanges que Neuhaus tressait à la gloire de Louis xiv, probablement dans la croyance naïve qu’il pourrait, avec l’appui de Patin, en tirer quelque rente, par la bienveillance du plus puissant roi d’Europe à l’égard des littérateurs. V. ce que Patin en a dit à Johann Paul Felwinger dans sa lettre du 29 décembre 1667.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Reiner von Neuhaus, le 15 mars 1668, note 7.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=9086&cln=7

(Consulté le 25/04/2024)

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