À Nicolas Belin, le 19 juin 1649, note 8.
Note [8]

« si nos princes persévèrent résolument dans une stupidité aussi grande que celle où ils ont vécu jusqu’à présent. »

L’aînée mazarine était Laure Mancini (v. note [35], lettre 176), que Guy Patin a bien qualifiée ici, non pas de mazarine, mais de maroquine : « On dit ironiquement, vous êtes un plaisant maroquin, un plaisant bouffon » (Furetière), mais la peau mate de Laure pouvait aussi être un sujet de raillerie.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Nicolas Belin, le 19 juin 1649, note 8.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0184&cln=8

(Consulté le 18/04/2024)

Licence Creative Commons