À Charles Spon, le 21 avril 1655, note 8.
Note [8]

« que la plupart du temps l’impure Vénus a mordus » : euphémisme pour dire que ceux qui se faisaient soigner par d’autres que les médecins avaient le plus souvent une maladie « vénérienne » (de Veneris, génitif de Venus).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 21 avril 1655, note 8.

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(Consulté le 24/04/2024)

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