À André Falconet, le 25 décembre 1669, note 8.
Note [8]

« d’une corruption de la substance du poumon par une goutte supprimée, dont il a souffert depuis 20 années : il était né de parents arthritiques et cette maladie a été familiale. “ La sève qui verdoie dans les feuilles vient des racines ; ainsi les maladies passent avec la semence du père aux enfants ” [Baptista Mantuanus, v. note [2], lettre 423]. » Ce Bourdon était sans doute l’époux d’une sœur de Jeanne Patin-Janson, la femme de Guy. V. note [3], lettre 878, pour Jérôme Le Maître de Bellejamme, autre mort de la semaine.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 25 décembre 1669, note 8.

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(Consulté le 23/04/2024)

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