À Charles Spon, le 20 mars 1649, note 82.
Note [82]

Sans doute une allusion aux deux vers de Juvénal (Satire vi, vers 237‑238) :

Abditus interea latet et secretus adulter,
inpatiensque moræ silet et præputia ducit
.

[Pendant ce temps, mandé secrètement, l’amant se tient caché et impatient d’attendre, se masturbe en silence].

C’était bien dans le ton des mazarinades de l’époque, qui éreintaient Mazarin et la reine en les accusant de toutes les turpitudes imaginables.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 20 mars 1649, note 82.

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(Consulté le 28/03/2024)

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